Pourquoi ce blog ?

Pendant des années, lors de recherches de généalogie puis de recherches plus élargies, j’ai découvert des pans de l’histoire de Guerlesquin et de celle des Guerlesquinais que j’ignorais totalement. Des tranches d’Histoire délaissées à priori par les chercheurs et historiens qui, dans leurs ouvrages, brochures et articles, se sont attachés prioritairement, avec talent il faut le dire, à l’histoire du patrimoine architectural, artistique et religieux dont nous sommes avec raison très fiers.

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Tout est dans le premier contact

Guerlesquin est une ville de caractère. C’est d’ailleurs l’une des premières communes ayant reçu le label de Petite cité de caractère1.

Ses habitants, les Guerlesquinais, ont aussi du caractère. Autant, sinon plus.

N’engagez pas la conversation en leur disant candidement « Quel charmant village que celui-ci ! » ou bien « Quel joli bourg que le vôtre!». Ils le prendraient mal. Très mal. Comme si vous cherchiez à les humilier. Et ça, les Guerlesquinais n’aiment vraiment pas du tout. Ils sont fiers, et chatouilleux sur certains sujets.

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Ville par la grâce du fisc

Ce n’est pas pour telle ou telle raison idiote de nombre d’habitants ou de superficie, argumentation qui n’a aucune valeur chez nous, ni davantage parce ce serait dû à la forfanterie des autochtones, critique minable qui glisse sur nous comme la pluie sur une peau de bique (je vous parlerai des peaux de bique Magalon), que la ville de Guerlesquin est une ville (je répète exprès ce mot ville).

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Le champ de bataille

Des places portent ou ont porté le nom de Champ de bataille dans diverses villes de France. Il en est ainsi par exemple à Paris ou encore au Castellet dans le Var, mais aussi, plus près de nous, à Brest (où elle fût rebaptisée Place de la Liberté en
1792), Douarnenez, Carhaix, Lesneven, Lannilis, Morlaix et… Plestin-les-Grèves.

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Mon champ de bataille

Le Champ de bataille est aujourd’hui plus joli qu’autrefois. Les jardiniers-
paysagistes ont fait un beau travail. On y a regroupé des monuments et vestiges de
monuments. Gros avantage, les touristes n’ont pas à aller les chercher où nos
anciens les avaient édifiés.

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Le fil à couper le beurre

Roger Bénec’h était médecin généraliste à Guerlesquin de 1948 à 1957. Bénec’h et non Benech ou Bénech. Il y a une apostrophe entre le c et le h, notre Bénec’h est d’origine bretonne. Les Benech sans accent ni apostrophe que l’on rencontre en Bretagne sont des descendants de cantalous venus au 18ème siècle vendre leurs chaudrons et qui ont pris racine ici. Des descendants de ces colporteurs auvergnats ont vécu à Guerlesquin.

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L’as de la rédaction

Pierre Guinamant, Guerlesquinais d’adoption et de cœur, élève au Cours Complémentaire de Guerlesquin 1 de l’automne 1950 à l’été 1954, venait tous les jours de Kergrec’h en Plougras, à quatre kilomètres environ, laissant pendant la
classe son vélo chez Leitner, maréchal-ferrant et vendeur de cycles.
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Hippolite Baron

Qui connaît Hippolite (orthographié ainsi à l’état civil) Baron aujourd’hui à Guerlesquin ? Combien de Guerlesquinais peuvent citer la moindre de ses œuvres ? Un, deux ? Il suffit pourtant de pousser la porte de l’église pour voir une des dites œuvres et admirer la qualité du travail de ce sculpteur.

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